« La Tunisie commémore, le 29 novembre 2023, avec le reste de la Communauté internationale, la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien, dans un contexte d’extrême détresse et de crise, résultant de l’agression brutale et continue de l’entité occupante contre les territoires palestiniens occupés et les civils sans défense, au mépris total de toutes les conventions internationales et valeurs universelles, sans la moindre responsabilité des actes commis », indique un communiqué rendu public hier par la Diplomatie Tunisienne. 

Dans ce contexte particulièrement marqué par des violations et des abus sionistes flagrants, la Tunisie n’a pas manqué l’occasion de la célébration de la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien pour réitérèr ses positions de principes en ce qui concerne l’appui et la défense du peuple palestinien à l’autodétermination. 

Tout en mettant en garde contre l’agression brutale et les attaques sionistes horribles dans toute la Palestine, et particulièrement à Gaza où les enfants, les femmes, les personnes âgées et les malades à Gaza, au vu et au su du monde entier durant environ deux mois, la Tunisie a critiqué, en outre, ce qui été qualifié d’’incapacité de nombreuses parties internationales à assumer leurs responsabilités politiques, juridiques et morales et bouger afin de cesser cette agression et les crimes de guerres et de génocide commis d’une manière systématique par l’entité sioniste à l’égard des palestiniens à Gaza. 

« La Tunisie : Renouvelle son rejet catégorique de toutes les formes et tentatives d’expulsion et de déplacement forcé des Palestiniens, des mesures visant à modifier la composition démographique, le caractère et le statut du territoire palestinien occupé et des tentatives désespérées de liquider la juste cause palestinienne, Appelle la Communauté internationale à tirer les leçons de l’histoire lointaine et récente et des tragédies passées et présentes pour apporter un changement qualitatif aux efforts internationaux, y compris au niveau du Conseil de sécurité, pour mettre fin au colonialisme et permettre au peuple palestinien d’exercer ses droits légitimes, internationalement reconnus et Souligne, également, la nécessité de se passer des approches traditionnelles dans le traitement de la question palestinienne et des agendas inutiles, en privilégiant une nouvelle approche, loin de tout parti pris, basée sur la sagesse, la clairvoyance et le respect des droits, des valeurs et des principes du droit international, y compris le droit international humanitaire, au service de la paix et de la stabilité dans la région », lit-on notamment dans le même communiqué. 

 

Rym