Deux semaines après avoir obtenu sa libération conditionnelle, Dani Alves refait déjà parler de lui. Comme chaque semaine, le Brésilien doit désormais s’astreindre à une obligation, à savoir se rendre au Tribunal provincial de Barcelone pour pointer. C’est ce qu’il a fait ce vendredi en compagnie de son avocate Ines Guardiola, et forcément, ses faits et gestes étaient épiés. Comme le montrent les images du programme Vamos a Ver de Telecinco, Alves a ainsi été aperçu en train de plaisanter avec un Mosso d’Esquadra (la police catalane), lui tapotant dans le dos.
Dans la revue espagnole, l’attitude des deux hommes a bien évidemment été pointée du doigt. « C’est un peu moche, le geste plus que tout, parce qu’il a été reconnu coupable de viol, c’est vrai qu’il n’y a pas de sentence définitive, mais c’est un peu déplacé. Surtout quand on est en uniforme », a exprimé le présentateur du programme, avant qu’une chroniqueuse ne lui emboîte le pas : «il fallait lui poser le tapis rouge. Cette personne n’est pas Dani Alves, ce n’est pas un footballeur qui va jouer un match, c’est un violeur présumé qui va pointer. Je ne l’aime pas. Je n’ai pas aimé ça du tout. On a mis les panneaux publicitaires, le tapis rouge, comme s’il était un héros ».