À partir du 12 juin, les jeunes médecins tunisiens entament une grève de cinq jours et boycottent le choix des centres de stages pour réclamer une amélioration de leurs salaires, le paiement des primes de garde, la révision des textes régissant le secteur et l’augmentation de la prime mensuelle. Seuls les services d’urgence et les gardes sont maintenus afin d’assurer la continuité des soins essentiels.