Le tribunal de première instance de Tunis a condamné le journaliste Mohamed Boughaleb à deux ans de prison dans une affaire intentée par une professeure universitaire. Cette dernière l’accusait de lui avoir porté préjudice à travers une publication sur les réseaux sociaux, en violation du décret-loi n°54 relatif à la lutte contre les infractions liées aux systèmes d’information et de communication.
