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Accueil » Niveaux bacheliers : les filières, c’est là que se décide l’avenir
Enseignement samedi, 19 juillet, 2025,15:135 Mins Read

Niveaux bacheliers : les filières, c’est là que se décide l’avenir

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Le marché de l’emploi pour les diplômés de l’enseignement supérieur en Tunisie présente des défis, avec un taux de chômage élevé, et pas uniquement chez les femmes. Avec les 76 mille nouveaux bacheliers, ce taux risque de monter même si certaines filières offrent des horizons plus prometteurs.

A chaque fin d’année scolaire et universitaire et la publication des résultats, les regards se dirigent vers l’orientation et la nature des études supérieures menant vers des métiers d’avenir assurés.

Aujourd’hui, avec les chiffres qui caractérisent un taux de chômage des haut diplômés de plus en plus élevé, il va falloir remettre de l’ordre dans les critères d’orientation et la mise en place de nouvelles filières porteuses qui permettent de viser des métiers demandeurs et non saturés.

A propos des chiffres, le taux de chômage des haut diplômés atteint près de 25%, dont plus de la moitié touche les femmes (31,6% au premier trimestre 2025, contre 17% pour les hommes).

En Tunisie, l’attente de plus de deux ans semble être plus fréquente : elle concerne 40,8% des diplômés du supérieur. Dans ce cas précis, la tranche d’âge majoritaire des diplômés chômeurs commence à partir de 21 ans pour atteindre progressivement les 25-29 ans.

Facteurs sectoriels et régionaux

Le taux de chômage global des maîtrisards présente un écart substantiel entre spécialités. En effet, le taux de chômage de la filière « droit » se situe à 68,2% contre 51,5% pour la filière «sciences humaines», 50,1% pour la filière «gestion, économie et finance», 48,8% pour la filière «langue», 44,4% pour la filière «sciences fondamentales», 35,8% pour la filière «techniques apparentées à l’ingénierie» et 28,9% pour la filière «informatique».

Ce qui est encore frappant, c’est que la répartition régionale du chômage des diplômés du supérieur montre qu’il vaut mieux résider à Tunis ou à Nabeul plutôt qu’à Kébili. Tunis et Nabeul ont un pourcentage de chômage des diplômés du supérieur pas loin de la moyenne nationale, mais Kébili tient en l’occurrence un triste record : plus du cinquième des chômeurs du gouvernorat ont un diplôme du supérieur. Même le gouvernorat limitrophe et assez comparable démographiquement parlant qu’est Tataouine ne connaît pas un tel taux. Quelle est la part du « hasard » dans ce « particularisme » et quelle est la part de la « nécessité » ? On ne saurait y répondre sans évoquer certaines particularités régionales.

Inadéquation des formations

Il en sort qu’il existe une inadéquation entre les formations universitaires et les besoins du marché du travail, avec un grand nombre de diplômés qualifiés pour le secteur public mais peinant à trouver un emploi dans le secteur privé.

Il est crucial pour les jeunes diplômés de développer des compétences adaptées aux besoins du marché et de chercher des opportunités dans des secteurs en croissance.

D’après une récente étude, les réelles causes qui ont conduit à cette situation se présentent comme suit :

Manque de postes dans le secteur public : le nombre de postes budgétaires disponibles dans les universités publiques est insuffisant pour absorber les nouveaux diplômés, en particulier les docteurs.

Rigidité des programmes de formation: certains contenus de formation manquent de diversité, de technicité et ne sont pas suffisamment adaptés aux réalités professionnelles.

Facteurs politiques et institutionnels: l’élargissement de l’accès à l’enseignement supérieur, sans une adaptation correspondante des structures d’emploi, a contribué à une «inflation» des diplômes.

Facteurs socio-économiques: l’inflation et d’autres problèmes économiques détournent l’attention du chômage des diplômés, qui reste pourtant un problème majeur.

Quelles solutions pour remédier à cette situation et pour débloquer la route qui mène vers une plus grande employabilité ? La même étude énonce une série de solutions qui pourraient être envisagées, dont essentiellement :

Réforme des programmes universitaires : il est crucial de repenser les contenus de formation pour les rendre plus pertinents et adaptés aux besoins du marché.

Développement du secteur privé : stimuler la création d’emplois dans le secteur privé et encourager l’entrepreneuriat est essentiel.

Plan de recrutement des diplômés chômeurs : selon La Presse de Tunisie, un projet de loi propose de recruter les diplômés chômeurs de longue durée inscrits sur une plateforme, après étude des dossiers et entretiens, et de les former pour des postes spécifiques.

Concertation avec les différents acteurs : il est important d’impliquer les universités, les entreprises et les représentants des diplômés dans la recherche de solutions.

Il faut également mettre en valeur la nécessité de s’orienter vers des secteurs qui offrent de meilleures perspectives d’emploi, notamment dans le numérique, l’intelligence artificielle, la cybersécurité et les énergies renouvelables.

Il faut également avouer que le chômage des haut diplômés en Tunisie est un défi complexe qui nécessite des mesures globales et concertées pour assurer une meilleure intégration des jeunes diplômés dans le marché du travail.

Et comme le pensent certains experts en la matière, le problème de l’employabilité ne réside pas uniquement dans l’orientation des étudiants, mais surtout dans le contenu des programmes de formation, avec une rigidité évidente dans les enseignements, notamment dans les filières des sciences humaines, où les cours manquent de diversité et de technicité. Les programmes sont conçus en fonction des ressources disponibles plutôt que des besoins réels du marché ou des apprenants. Pour lui, il est essentiel de repenser les contenus pour qu’ils soient plus concrets, souples et adaptés aux réalités professionnelles. Les filières et leurs contenus, c’est là que se décide l’avenir

Kamel ZAIEM

enseignement supérieur orientation universitaire

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