Selon les premières estimations de l’arrondissement de la production végétale relevant du Commissariat régional au développement agricole de Kairouan (CRDA ) ,la récolte oléicole 2025-2026 serait de l’ordre de 248 mille tonnes d’olives (206 mille tonnes en 2024-2025,) l’équivalent de 52 mille tonnes d’huile d’olives, contre 42 milles tonnes d’huile d’olives au cours de la saison oléicole précédente. Les agriculteurs de la région s’attendent à d’autres précipitations. Celles qui arroseraient les oliveraies et amélioreraient la qualité de la production.
A noter que les oliveraies dans le Kairouannais, comptent 12,800 Millions d’oliviers environ et couvrent une superficie de 190 mille hectares.
Campagne contre l’occupation anarchique On passe à l’action
dans la cadre de la lutte contre l’occupation anarchique dans la vile de Kairouan , et suite à l’avis numéro 3805 du 30 juillet 2025 lancé par les autorités régionales compétentes ,,celui de mettre fin à partir d’aujourd’hui 4 Aout 2025 à la présence d’étals sauvages occupant depuis des années les trottoirs des rues de Sfax, de Beit El Hekma et celle de la citée Mohamed Ali ,et au moment où les habitants de ces lieux sombraient dans un sommeil profond ( Aujourd’hui ,lundi 4 Aout 20252heures du matin),et en présence des force de l’ordre , des autorités et des ouvriers municipaux et du délégué de Kairouan ,des étals appartenant à des réfractaires ayant refusé de rejoindre les lieux déjà aménagés par les autorités régionales pour accueillir les étals sauvages , ont été saisis et les lieux ont été entretenus .Et ce, dans l’attente de voir déboulonner les étals anarchiques, paralysant la circulation du coté des rues Mongi Slim, El Hajjam et ‘Ennhaissia’(les artisans d’ustensiles en cuivre martelé ) .
L’eau potable qui se fait rare
Il faut se rendre dans les rifs des délégations d’Ousseltia , de Ain Jelloula et dans plusieurs autres localités reculées du gouvernorat, pour voir de près la souffrance d’une population assoiffée acceptant même de boire une eau polluée et pleine de sangsues. Une population encore attachée aux quelques hectares d’oliviers centenaires hérités des prédécesseurs qui ne réclame que cette denrée précieuse . Aux responsables à tous les niveaux d’agir et vite ,
Neji KHAMMARI
