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Accueil » Abdelhamid Hergal : « Je suis fier de mon parcours avec le Stade Tunisien, même en l’absence de titres »
Sports lundi, 15 décembre, 2025,12:5214 Mins Read

Abdelhamid Hergal : « Je suis fier de mon parcours avec le Stade Tunisien, même en l’absence de titres »

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Propos recueillis par Mourad AYARI 

Notre invité de ce dimanche est un grand joueur de football. Il a fait son temps et même s’il est à la retraite depuis 35 ans, les Tunisiens se rappellent toujours de ses exploits. Il fut meilleur buteur du championnat et soulier d’or lors de la saison 1989/1990. Il est le meilleur buteur stadiste de tous les temps avec 82 réalisations. Bien avant Noureddine Diwa et Abdelwahab Lahmar. Nous l’avons approché pour revenir sur sa carrière, le foot d’aujourd’hui et son quotidien. Un beau moment avec l’ex stadiste et international Abdelhamid Hergal, jovial et souriant comme toujours. Entretien. 

– Une idée sur vos débuts, vos premiers pas avec le Stade Tunisien…

– Il faut dire que je n’étais pas très jeune quand j’ai atterri au Stade Tunisien. Je faisais déjà partie de la catégorie Cadets. Mon père ne voulait pas vraiment que je joue au football pour me consacrer aux études mais moi, j’avais un tout autre objectif. Il me fallait concilier études et sport, mais je n’ai pas su vraiment le faire. Pour les études, j’ai tenu bon jusqu’au Baccalauréat sans le décrocher. J’étais convaincu de mes qualités et je voulais percer dans le monde du sport et c’est ce que j’ai fait. J’ai commencé ma carrière par une coupe du monde Juniors organisée en Tunisie. C’était en 1977. Chez les jeunes, je dois beaucoup au regretté Skander Medalgi qui m’a beaucoup appris. Il a lancé toute une génération de bons joueurs et j’en faisais partie. En 1979, j’ai fait mes premiers pas avec les seniors avec Milosevic et c’est sous la houlette de Ameur Hizem que  j’ai marqué mon premier but. C’était contre l’Espérance de Tunis lors de la saison 1980/1981et le gardien était Mohsen Rajhi qu’on appelait Zarga et que je salue d’ailleurs. Sinon, mon premier match, c’était contre le Sfax Railway Sports en 1979. Sans prétention aucune, je pense avoir beaucoup de mérite pour réussir à porter le maillot du Stade Tunisien de l’époque car devant moi, il y avait des noms illustres. J’en citerai Néjib Limam, Naceur Kerrit, Mohsen Jendoubi, Ezzeddine Bazdah, Noureddine Ben Arfa et la liste est longue. 

– Pourquoi le Stade Tunisien ?

– La réponse est toute simple. Je suis stadiste de confession. C’est le club que j’aime et que j’ai toujours supporté. C’est le club de mon quartier. En somme, tous les ingrédients étaient réunis pour que je devienne un supporter invétéré du Stade Tunisien. Et tout jeune, j’ai vu jouer des monstres sacrés du football tunisien. J’ai vu jouer Abdelwahab Lahmar, Daniel, le grand gardien Abdallah. Pour faire bref, le Stade Tunisien, c’est mon club de cœur et de toujours. 

– L’entraîneur qui vous a lancé et cru en vous ?

– C’est Ameur Hizem qui m’a vraiment donné ma chance. Avec lui, j’ai changé de statut et je suis devenu un titulaire à part entière. Disons que quand il m’a lancé en 1980, je ne l’ai pas déçu… 

– Le président que vous n’êtes pas près d’oublier ?

– C’est indéniablement le grand disparu Hédi Ennaïfer. Il a beaucoup fait pour le Stade Tunisien. Sans lui, le club serait peut-être aujourd’hui sans Complexe sportif. Grâce à lui, tous les joueurs et tous les responsables ont pu assurer leur avenir et travailler dans une société ou une banque. Il imposait le respect. Il était juste, humain et charismatique. De son temps, le Stade Tunisien était toujours parmi les premiers et jouissait du respect de tous. 

– On dit que vous avez profité économiquement de votre parcours au Stade Tunisien. Est-ce vrai ?

– Je dirais les choses autrement. Je pense que la renommée m’a facilité les choses et la vie. Il va sans dire que je suis devenu célèbre grâce au Stade Tunisien, mais à mon époque, il n’y avait pas beaucoup d’argent. Il fallait être rationnel et un bon gestionnaire. Et j’ai su l’être. Pour faire bref, grâce au Stade Tunisien, j’ai eu beaucoup de facilités pour mon avenir. Les contacts et les connaissances m’ont aidé. Sinon, il était question de primes de matches, sans plus. 

– Aucun titre de champion avec le club du Bardo. Comment avez-vous vécu cela ?

– Disons que je n’ai pas été chanceux avec le Stade Tunisien. J’ai perdu trois finales de coupe de Tunisie. En 1980 contre l’Etoile du Sahel (1/3), en 1990 contre l’AS Marsa (2/3) et en 1992 contre le Club Africain (0/2). En outre, je n’étais pas présent avec mon club pour la coupe arabe en Arabie saoudite remportée haut la main. J’étais retenu, avec Taoufik Mhadhebi, en équipe nationale. Enfin, en 1984, nous avons terminé en tête du championnat avec le Club Athlétique Bizertin qui a été sacré champion grâce à une meilleure différence de buts. Cela fait un peu trop pour un seul joueur mais je suis obligé de faire bon cœur contre mauvaise fortune. 

– Vous avez porté le maillot de l’Espérance de Tunis pour remporter votre seul et unique titre de champion. On dit que vous avez regretté ce bref passage au parc B. Est-ce vrai ?

– Je ne regrette rien, mais avec du recul, je pense que je n’aurais pas dû le faire. Ce fut fait suite à un coup de tête et un malentendu avec le président de l’époque  Chedly Karoui. Il ne voulait pas racheter mon contrat du Sultanat d’Oman où je jouais. Ça m’a énervé et j’ai décidé de racheter mon contrat avec mon propre argent et signer au profit de l’Espérance sans contrepartie. Vous allez me dire qu’au terme d’une saison de six mois, j’ai remporté un titre derrière lequel j’ai couru pendant presque vingt ans. Pour vous répondre, je me limiterai à dire que c’est un titre qui ne m’a pas emballé et que le jour de la remise du trophée, je n’étais pas présent… 

– Les supporters stadistes ont-ils oublié ce bref passage au parc B ? Vous ont-ils pardonné ?

– Je pense que oui. Les vrais stadistes, les vrais supporters qui savent ce qui s’est vraiment passé m’ont pardonné. Je suis un vrai stadiste et ils le savent. Tout le monde le sait. 

– Vous êtes un ex-international. Un long parcours jalonné de hauts et de bas. Quels souvenirs gardez-vous de cette période ?

– Avec l’équipe nationale, je peux également dire que je n’ai pas été chanceux. Douze ans à porter le maillot national et aucune participation à une coupe du monde. En 1982, c’est le Nigeria qui nous a barré la route. En 1986, c’est la grande équipe d’Algérie avec Belloumi, Assad et Madjer. Et puis en 1990, c’est le Cameroun. Et à titre de rappel, à l’époque, le continent africain était représenté par un seul pays. En plus, aucune participation à un championnat d’Afrique. En Libye, j’étais blessé et pour le Championnat d’Afrique au Ghana, de même. Je n’étais pas également présent aux Jeux Olympiques de Séoul. C’est la vie et c’étaient les règles de l’époque. 

– Le petit pont à Gascoigne contre l’Angleterre, on a l’impression que votre carrière internationale se résume à cela. Pourquoi ?

– Après 35 ans, les Tunisiens s’en rappellent encore et toujours. Certainement parce qu’ils aiment le geste technique, le football spectaculaire. Ils n’ont pas, également, oublié mon but lors de ce même match devant l’Angleterre avec l’immense Shilton dans les bois. Un fort joli but suite à un tir de loin.

– Comment a réagi Paul Cascoigne après ce petit pont ? 

– Il en a ri. Quand nos regards se sont croisés de nouveau au cours du match, il m’a fait un petit geste de la main. Comme pour me dire «tu m’as eu». 

– Votre meilleure formation avec le Stade Tunisien ?

– Mondher Ben Jaballah, Fethi Jemmi, Ahmed Ezzine, Saber El Ghoul, Mohsen Jendoubi, Noureddine Ben Arfa, Férid Belhoula, Khemaïs Cherif, Abdelkader Rakbaoui, Hichem Ncibi et Rached Tounsi.

– Votre meilleure formation avec l’équipe nationale ?

– Mondher Ben Jaballah, Hechmi Ouahchi, Abderrazek Chahat, Khaled Ben Yahia, Moncef Chargui, Hosni Zouaoui, Nabil Maâloul, Tarak Dhiab, Lassaâd Abdelli, Jamel Limam et Abdelkader Rakbaoui.

N.D.L.R : On notera que dans les deux formations, Abdelhamid Hergal n’a pas voulu citer son nom. 

– Quelle différence entre le football d’hier et celui d’aujourd’hui ?

– Avant, c’était un football technique. On appréciait les dribbles, les petits et grands ponts. Nous n’étions pas cloîtrés dans des schémas tactiques hermétiques. L’initiative personnelle était de mise et c’est pour cela que dans tous les clubs, on trouvait deux à trois joueurs d’exception capables de faire la différence. En outre, l’argent a tout faussé. Il n’y a plus d’appartenance. On joue au plus offrant et on se retrouve avec des joueurs capables de porter plusieurs maillots tout au long de leur carrière. Je dois préciser que c’est leur droit, mais quelque part, le charme est rompu. Actuellement, tu peux jouer contre un club et porter son maillot pour jouer lors de la phase retour contre ton club de la phase aller. C’est insensé ! 

– Quand vous avez raccroché, vous avez eu de brefs passages en tant que responsable au sein du Stade Tunisien. Et puis au sein de la FTF. Pourquoi n’avez-vous pas duré en tant que dirigeant ?

– J’ai fait une brève expérience en 2006 avec les jeunes du Stade Tunisien. En 2007, j’ai intégré le bureau fédéral avec le défunt Tahar Sioud qui était le président de la Fédération Tunisienne de Football. Ce que j’ai vécu et vu en trois ans m’a poussé à quitter définitivement le monde du football et je ne suis pas prêt à revenir sur ma décision. J’ai vu des joueurs avec le sourire aux lèvres après une défaite contre le Mozambique qui nous a privés d’une qualification à la coupe du monde et cela ne les a guère ébranlés ou affectés. Ils parlaient toujours argent. Je ne suis pas prêt à travailler avec des joueurs avec une mentalité d’égoïstes et d’opportunistes. 

– On a toujours comparé Jamel Limam avec Abdelhamid Hergal. Qui a eu plus de succès selon vous ? Qui fut plus doué que l’autre ?

– Jo est un joueur explosif. C’est un joueur d’instinct. Quant à moi, j’estime être un peu plus rationnel et réfléchi. Jamel est un grand talent comme on n’en fait plus. Il est talentueux, doué et il aurait pu faire une carrière encore plus grande.

– Si vous deviez faire un classement du premier au dernier entre Temime Lahzemi, Faouzi Rouissi, Jameleddine Limam et vous-même. 

– Sans aucune hésitation, je mettrais Temime en tête. Puis Jo Limam, Faouzi Rouissi et puis Abdelhamid Hergal. 

– Le meilleur joueur tunisien de tous les temps ?

– Je pense qu’ils sont deux et il est difficile de les départager. Je pense à Tarak Dhiab et Hamadi Agrebi. Deux monstres sacrés du football tunisien. Les voir sur un terrain de football est un plaisir immense. Les voir jouer ensemble est un plaisir encore plus grand. Et j’ai eu l’immense plaisir et honneur de jouer avec eux. 

– Vous faites partie d’une famille sportive, mais vous êtes le seul à avoir percé dans le monde du football. La famille vous a-t-elle aidé à devenir ce que vous êtes aujourd’hui ?

– Pas vraiment. Si j’ai eu cette carrière, c’est parce que j’ai tenu bon. Mon père voulait autre chose pour moi. Quant à mes trois frères, deux d’entre eux n’aimaient pas vraiment le football. Surtout Tijani. Seul Arbi un peu aimait le foot. Quoi qu’il en soit, j’ai persévéré et tenu bon et je ne dois rien à personne. 

 

– Votre fils n’a pas suivi vos pas. Est-ce parce que vous ne vouliez pas qu’il devienne footballeur ?

– Il aurait pu le faire. C’était un bon joueur, mais il n’avait pas le mental pour aller jusqu’au bout. Je ne lui ai rien imposé et je ne lui ai pas interdit de jouer au foot. Je lui ai seulement fait savoir que les études étaient plus importantes pour lui. C’est un Bac plus cinq en gestion et marketing et je suis fier de lui. 

– La notoriété, comment la vivez-vous ?

– Ce qui me fait plaisir, c’est qu’après avoir arrêté le football, les gens se rappellent toujours de moi comme au premier jour. Je suis à la retraite depuis 35 ans et les gens se rappellent toujours mes buts, mes exploits et mes prouesses et c’est ma principale satisfaction. Sinon, il faut toujours garder la tête sur les épaules car la célébrité peut vous jouer de mauvais tours. J’espère avoir laissé une belle image 

– Votre rapport avec l’argent ?

– Pour moi, l’argent est un moyen pour bien vivre sans oublier l’essentiel. Ne pas être dans le besoin suffit à mon bonheur. Je ne veux pas être riche. Je veux plutôt être heureux et en bonne santé.

– Avant-dernière question. Que faites-vous pour vous occuper ?

 -Je fais régulièrement du sport. Je m’entraîne dans une salle et de temps à autre, on organise des matches de foot Salle. Sinon, j’aide mon fils dans la gestion de sa pizzeria. Je lis un peu et, enfin, je rencontre mes ex-coéquipiers du Stade Tunisien tels Fethi Jemmi, Saber El Ghoul, Hichem Ncibi, Abdelkader Rakbaoui, Jalel Aouadi et Férid Belhoula. Ensemble, on essaie de revivre le passé tout en restant actuels. 

– Pour terminer, l’équipe de Tunisie de football s’apprête à disputer la Coupe d’Afrique des Nations au Maroc après une Coupe arabe désastreuse. Qu’en pensez-vous ?

– J’estime que le rachat est possible au cours d’une compétition que le Maroc a toutes les chances de remporter. Pour moi, c’est le pays organisateur et c’est une sélection truffée de belles individualités. C’est le favori numéro un de cette CAN. Pour la Tunisie, le rachat est possible et aller loin demeure un objectif réalisable. Pour cela, il faut de la discipline, de la rigueur et beaucoup de bonne volonté. Sami Trabelsi se doit de se racheter après une Coupe arabe désastreuse. Avec le retour des joueurs évoluant dans des championnats étrangers, je pense que les «Aigles de Carthage» peuvent bien faire et ils nous doivent une belle prestation. Les supporters tunisiens ne demandent pas plus. 

 

Pour mieux connaître Abdelhamid, un mini questionnaire de Proust

Le principal trait de votre caractère : réglo dans tout ce que je fais 

La qualité que vous désirez chez un homme : la sincérité 

La qualité que vous désirez chez une femme : la modestie 

La qualité que vous appréciez chez vos amis : la sincérité 

Votre principal défaut : quand je m’énerve, je ne suis plus moi-même 

Votre occupation préférée : regarder les matches européens 

Votre rêve de bonheur : voir ma famille heureuse et surtout mon fils Ahmed 

Ce que vous voudriez être : ce que je suis maintenant 

La couleur que vous préférez : le bleu ciel 

Eté ou hiver : hiver à outrance 

Le pays où vous désireriez vivre : la Tunisie avec une mentalité différente des gens 

Ce que vous porteriez sur une île déserte : un livre que j’ai en tête et sans vous dire lequel 

 

Pavés

Je pense que la renommée m’a facilité les choses et la vie. Il va sans dire que je suis devenu célèbre grâce au Stade Tunisien, mais à mon époque, il n’y avait pas beaucoup d’argent. Il fallait être rationnel et un bon gestionnaire. Et j’ai su l’être. Pour faire bref, grâce au Stade Tunisien, j’ai eu beaucoup de facilités pour mon avenir. Les contacts et les connaissances m’ont aidé.

 

Ce qui me fait plaisir, c’est qu’après avoir arrêté le football, les gens se rappellent toujours de moi comme au premier jour. Je suis à la retraite depuis 35 ans et les gens se rappellent toujours mes buts, mes exploits et mes prouesses et c’est ma principale satisfaction.

 

Abdelhamid Hergal ST - Stade Tunisien

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