Selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), 154 disparitions en mer ont été enregistrées depuis le début de l’année en Tunisie.
« Jeune Afrique » rapporte que les familles des disparus, mobilisées à Sfax, l’un des principaux points de départ des passeurs, critiquent l’insuffisance d’informations fournies par les autorités.
D’après Jeune Afrique, les cas de disparitions seraient liées à un passeur local connu sous le surnom « le prince de la mer ». Face au manque de soutien officiel, les familles mènent leurs propres recherches, rappelant le drame de Zarzis en 2022.
« Jeune Afrique » souligne la pression croissante sur les autorités pour une meilleure gestion humanitaire de ces crises et une réponse coordonnée en cas de disparitions en mer.