Dans un communiqué, la Fédération espagnole de football (RFEF) a officialisé les stades proposés par ses soins, dans le cadre de la co-organisation de la Coupe du monde 2030 avec le Maroc et le Portugal. L’occasion de confirmer la réparation des sites avec ses co-hôtes.
La RFEF a dévoilé le 19 juillet sa mise en place infrastructurelle pour le Mondial 2030. Plus précisément, l’instance a dressé la liste des stades qui accueilleront les matches et des camps d’entrainements des équipes en vue de la validation par la FIFA. Comme annoncé précédemment, la péninsule ibérique se taille plus de la moitié des sites par rapport au Maroc et au Portugal, qui se contente de la plus petite part.
« L’Espagne disposera de 11 sites, 6 au Maroc et 3 au Portugal, conformément au règlement de la FIFA qui prévoit un maximum de 20 stades », a confirmé la RFEF sur son site officiel. « La RFEF a travaillé intensément sur cette option et l’a transmise à ses partenaires de candidature, mais la Fédération marocaine et la Fédération portugaise de football ont estimé que les règles de la FIFA, qui fixent un maximum de 20 sites, devaient être respectées, ce qui signifie que l’Espagne disposera de 11 sites », a-t-elle expliqué.
D’après différentes sources, les enceintes marocaines concernées sont le Complexe Moulay Abdellah de Rabat, le stade de Marrakech, le stade de Fès, le stade d’Agadir, le stade de Tanger et le Grand Stade de Casablanca en construction, et proposé pour abriter la finale face au Stade Santiago Bernabéu de Madrid plébiscité par l’Espagne.