Après avoir bu le calice jusqu’à la lie, touché le fond, frôlé le même sort des Union Sportive de Tunisienne (UST) Union Sportive Maghrébine (USMa), etc, le Club Sportif d’Hammam-Lif a désormais des raisons d’aspirer à un avenir meilleur en entrevoyant une lueur d’espoir avec l’intronisation de Sadok Mourali comme nouveau ministre du Sport. Une première réunion avec le coordinateur Mongi Bhar pour se mettre au courant des multiples difficultés endurées par la boite. Par la suite, il donna ses instructions au nouveau gouverneur de Ben Arous Wissem Mraydi pour agir en conséquences.
Le gouverneur à l’œuvre
Les choses ne trainèrent guère. Le gouverneur provoqua le 18/10/2024 une réunion au sommet avec les principaux responsables Hammam-Lifois : Mongi Bhar, Taieb Zaher, Kais ben Mrad, Adnène Ben Mrad, Pr Mondher Mbarek, Mohamed Annabi, Naceur Atrous, Anis Ben Tili, Fadhel Ben Hamza, Farid Jbeniani, Riadh Hawet, Bechir Khalfallah, Moez Mzah, Moez Bel Hadj, Anis Sorab, et Jamel Oueslati accompagné par son associé Italien. Jamel Oueslati régional (Boukornine) vivant en Italie ayant manifesté avec son associé la volonté de venir en aide au club et de s’investir pleinement dans cette nouvelle mission en s’installant définitivement en Tunisie.
Le geste des anciens responsables
Sur proposition de Fayçal Boucetta, retenu par affaires personnelles, la dette de l’ordre d’un milliard 250 millions contractées par les caisses auprès des anciens responsables sera gommée. Ils se sont engagés à effacer l’ardoise par écrit. Les chèques encore en circulation seront également honorés. De la sorte, la nouvelle équipe dirigeante présidée par Jamel Oueslati trouvera les compteurs vierges, à zéro. Engagement également du comité de soutien de continuer à soutenir la nouveau bureau directeur.
En attente de l’aval de Oueslati
Une fois l’aval de Jamel Oueslati obtenu, convocation d’une Assemblée Générale Elective et mise en route du grand chantier de remise en condition de cette glorieuse boite qui n’a que trop longuement mangé avec stoïcisme sa main noire au grand dam de toute une ville encaissant les coups durs, les amères déceptions depuis quelques années sans renoncer à aimer ses couleurs . Mieux vaut tard que jamais comme on dit…
Mohamed Sahbi RAMMAH