Le Temps News
  • NATION
    • Politique
    • Justice
    • Corps de métiers
    • Communes/ Collectivités locales
    • Organisations nationales
  • SANTE
    • Le point sur la pandémie
    • Bien être
    • Structures hospitalières
  • SOCIETE
    • Consommation
    • Eau
    • Enseignement
    • Médias
    • Environnement
    • Météo
    • Faits divers
    • Services
    • Sciences et technique
  • ECONOMIA
    • Agriculture
    • Autos
    • Chambres de commerce
    • Conjoncture
    • Echos
    • Entreprises
    • Finances/ Banques
    • La Bourse au quotidien
    • Industrie
  • Sports
    • Foot
    • Volley-ball
    • Basket-ball
    • Hand-ball
    • Tennis
    • Turf
    • Handisports
    • Arbitrage
    • La vie des clubs
  • CULTURA
    • Musique
    • Cinéma
    • Théâtre
    • Arts plastiques
    • Littérature
    • Patrimoine
    • Spectacles
    • Agenda culturel
    • Réflexion
  • SUCCESS STORY
  • BLOGS
    • Post ‘It
    • Postillons
  • SOCIETE CIVILE
    • Les associations
    • Think Tank
  • LIFESTYLE
    • Loisirs
    • Tendances
  • VIDEOS
Erreur, pas de jeu d’identité publicitaire! Vérifiez votre syntaxe!
Facebook Twitter Instagram
Facebook Twitter Instagram YouTube
Le Temps News
Abonnez-vous
  • NATION
    • Politique
    • Justice
    • Corps de métiers
    • Communes/ Collectivités locales
    • Organisations nationales
  • SANTE
    • Le point sur la pandémie
    • Bien être
    • Structures hospitalières
  • SOCIETE
    • Consommation
    • Eau
    • Enseignement
    • Médias
    • Environnement
    • Météo
    • Faits divers
    • Services
    • Sciences et technique
  • ECONOMIA
    • Agriculture
    • Autos
    • Chambres de commerce
    • Conjoncture
    • Echos
    • Entreprises
    • Finances/ Banques
    • La Bourse au quotidien
    • Industrie
  • Sports
    • Foot
    • Volley-ball
    • Basket-ball
    • Hand-ball
    • Tennis
    • Turf
    • Handisports
    • Arbitrage
    • La vie des clubs
  • CULTURA
    • Musique
    • Cinéma
    • Théâtre
    • Arts plastiques
    • Littérature
    • Patrimoine
    • Spectacles
    • Agenda culturel
    • Réflexion
  • SUCCESS STORY
  • BLOGS
    • Post ‘It
    • Postillons
  • SOCIETE CIVILE
    • Les associations
    • Think Tank
  • LIFESTYLE
    • Loisirs
    • Tendances
  • VIDEOS
Le Temps News
Accueil » Recul de la natalité : L’inéluctable vieillissement démographique
SOCIETE vendredi, 15 août, 2025,15:056 Mins Read

Recul de la natalité : L’inéluctable vieillissement démographique

Partager
Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email

Dans notre société, on rencontre souvent de jeunes couples, quoique mariés depuis quelques années, qui n’ont pas eu d’enfants, d’autres qui ne veulent pas en avoir, mais d’autres encore qui n’ont qu’un seul ou deux enfants. Serait-ce suite à un choix délibéré fait par le couple ou par nécessité, vu les exigences et les besoins contraignants de la vie ? En effet, quand on parle aujourd’hui de ce sujet avec un jeune couple, on découvre une certaine réticence à avoir des enfants, comme si le fait d’être parent devenait un grand fardeau à supporter, si bien qu’on entend dire souvent : «Un enfant, c’est suffisant, deux, c’est déjà trop.» 

En Tunisie, comme ailleurs, certains couples font le choix de ne pas avoir d’enfants. Ce choix est de plus en plus assumé et peut être motivé par divers facteurs. Les raisons peuvent être personnelles, comme le désir de voyager, de profiter de sa liberté ou de ne pas vouloir assumer les responsabilités parentales. Des raisons économiques et sociales peuvent aussi jouer un rôle, comme l’instabilité politique et socio-économique, le coût élevé de l’éducation et de la garde d’enfants, ou encore le manque de structures d’accueil. Il faut peut-être ajouter à cela le sentiment éprouvé par bon nombre de couples que l’avenir est incertain. Mais aussi, il faut mentionner le fait que les normes sociales traditionnelles concernant la famille et la maternité sont remises en question par les jeunes d’aujourd’hui.

Limitation volontaire des naissances

Chez nous, les jeunes mariés ont de plus en plus tendance à observer une période plus ou moins longue entre le mariage et la première grossesse. Cette période pourrait s’étendre jusqu’à trois ou quatre ans, histoire de reporter l’enfantement à une date éloignée pour pouvoir jouir d’une certaine liberté au sein du couple, sachant que l’arrivée d’un bébé pourrait tout chambarder. Même si certains couples souhaitent avoir deux ou trois enfants dès les premiers mois du mariage, ils se ravisent juste après l’arrivée du premier-né, suite aux bouleversements que ce nouvel enfant provoque non seulement dans le train de vie du couple, mais aussi et surtout au niveau du budget familial qui se trouve affecté par les nouvelles dépenses portées par le nouveau-né dont les besoins deviennent nombreux au fur et à mesure qu’il grandit. Une grande majorité des jeunes couples préfère avoir un ou deux enfants, le troisième étant de trop. Le fait d’avoir le minimum d’enfants, ce n’est pas seulement un choix, mais une nécessité, car la prise en charge d’un enfant s’avère difficile et très coûteuse, surtout par les temps qui courent (salaire limité, cherté de vie, allocation familiale insignifiante, crise économique…), quoique la sagesse populaire et la tradition familiale chez nous accordent une grande importance aux naissances, vu leur rôle joué dans le prolongement de la race humaine et la conservation du nom de la famille. Aujourd’hui, étant donné les conditions difficiles de la vie, une famille composée de trois enfants et de leurs parents passe pour une famille nombreuse, quels que soient les revenus du couple. Il est rare de trouver de nos jours une famille de cinq, six ou sept membres, comme ce citoyen qui, non sans amertume, regrette d’avoir fait beaucoup d’enfants : «C’est la nature qui pousse le couple à désirer un ou plusieurs enfants, elle est souvent plus forte que le bon sens. Parfois, on subit les conséquences de son choix ; on regrette d’avoir le second enfant, mais on oublie aussitôt et on continue. Mais je peux vous dire qu’aujourd’hui, vu la conjoncture économique actuelle, un seul enfant suffirait. Et si c’était à refaire, je n’aurais qu’un seul enfant ! Depuis la naissance de mon premier enfant jusqu’au dernier, le prix de tous les produits relatifs à l’allaitement artificiel et à la nourriture du bébé ont flambé d’une façon vertigineuse, alors que l’allocation familiale accordée par l’Etat est très insuffisante, sans compter les dépenses nécessaires en période de grossesse et lors de l’accouchement…»

Contraintes sociales, économiques et professionnelles

Il va sans dire que de nos jours, les enfants coûtent cher. Dès la naissance et même avant, un enfant a beaucoup de besoins vitaux que les parents doivent satisfaire, des besoins qui augmentent au fur et à mesure qu’il grandit et avec la cherté de la vie, cela devient trop dur pour le couple. La crise socio-économique du pays qui dure depuis des années et la situation professionnelle du couple sont les facteurs qui déterminent cette réticence chez les jeunes couples à avoir beaucoup d’enfants. Ecoutons ce jeune homme, marié et père d’un seul enfant : «J’ai un enfant de trois ans et ce sera l’unique. Car, ce n’est pas comme avant, maintenant tout est relié aux moyens matériels ; c’est le budget familial qui doit déterminer le nombre d’enfants dans la famille, car la vie devient de plus en plus chère. Ce qui est pire, aujourd’hui, c’est qu’un enfant peut rester chez ses parents jusqu’à l’âge de 30 ans ou 35 ans, le temps qu’il termine ses études et les années qu’il passe à chercher du boulot ! Imaginez combien ça coûte 35 ans de nourriture, d’habillement, de soins, d’éducation, de loisirs et d’argent de poche ! C’est un budget énorme qui se gonfle si l’on a deux ou trois enfants à sa charge…»

Renoncer à l’enfantement ou se contenter d’un ou de deux enfants devient un phénomène social chez les nouvelles générations. A ce rythme, la démographie en Tunisie serait-elle menacée, si bien que cela engendrerait un jour le vieillissement de notre population, comme il a été enregistré dans les résultats du dernier recensement de la population ?  Nos sociologues et nos psychologues seront peut-être invités à se pencher sur ce sujet préoccupant.

En résumé, le choix de ne pas avoir d’enfants est un phénomène complexe qui s’inscrit dans un contexte social et économique en mutation. Si les raisons personnelles jouent un rôle important, les facteurs économiques et sociaux ne sont pas à négliger. Il est important de respecter ce choix, tout en étant conscient des enjeux démographiques et sociaux qu’il soulève.

Hechmi KHALLADI 

bébé famille ministère de la Famille de la Femme de l'Enfance et des Personnes Âgées naissance natalité

Articles liés

Pourquoi nos enfants n’aiment pas la lecture ? La famille, l’école et Internet pointés du doigt       

lundi, 1 décembre, 2025,09:06

Polygamie, dites-vous ?

samedi, 29 novembre, 2025,09:45

Journée internationale des droits de l’enfant : «renforcer l’encadrement des enfants dans l’espace numérique»

vendredi, 21 novembre, 2025,12:05
Les derniers articles
Turf
Turf

Pronostic Tiercé : Prix Spirit Sainte-Germaine à Pornichet

vendredi, 5 décembre, 2025,07:30

Notre spécial Tiercé d’aujourd’hui, 4ème course à Pornichet, donne notre pronostic du Temps/ Temps News…

Coupe arabe – Qatar 2025 (2eJ/GrA) : la Tunisie tenue en échec par la Palestine (2-2)

jeudi, 4 décembre, 2025,18:01

Des écoles de Siliana modernisées par l’introduction de la robotique dans le cadre d’un programme européen

jeudi, 4 décembre, 2025,17:33

Une journée sans tabac organisée sur l’avenue Habib Bourguiba ce samedi 6 décembre

jeudi, 4 décembre, 2025,16:47

Ligue 2 : désignation des arbitres de la 12ème journée

jeudi, 4 décembre, 2025,16:22
  • Facebook
  • Twitter
  • Instagram
  • YouTube
———————————————–

Délégataire: MOHAMED BEN SALEM

———————————————–

Journal électronique
Édité par Dar Assabah
Siége : Bd. Mohamed Bouazizi El Menzah
Téléphone  : 71 238 222 (lignes Groupées)
Fax : 71 752 527

Facebook Twitter Instagram YouTube
© 2025      Le temps ALL RIGHT RESERVED

Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.