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Accueil » Dérives dans les espaces «sensibles» : faut-il généraliser les caméras de télésurveillance ? Débat ouvert…
SOCIETE mardi, 9 septembre, 2025,15:045 Mins Read

Dérives dans les espaces «sensibles» : faut-il généraliser les caméras de télésurveillance ? Débat ouvert…

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A cause des soucis sécuritaires, les Tunisiens ont appris à cohabiter avec les caméras de surveillance, de plus en plus généralisées. Toutefois, avec toutes les scènes et les tristes épisodes de violence que nous suivons quotidiennement, il devient inévitable de renforcer la présence de cette télésurveillance pour dissuader encore plus les «amateurs» d’actes violents, de banditisme ou de braquages et surtout pour les repérer plus facilement. Une présence massive que certains citoyens considèrent comme une atteinte à leur intimité alors que la plupart des gens appellent à des règles plus rigoureuses de surveillance…

Placer une caméra de surveillance près de l’entrée de sa maison ne présente plus une particularité, tellement nos concitoyens commencent à s’y habituer, mais c’est à d’autres niveaux que ce genre de surveillance doit se développer et déployer encore plus de caméras et de détecteurs.

Certes, les citoyens ordinaires sont de plus en plus nombreux à se doter de systèmes de protection et de caméras de surveillance, mais ils doivent toujours respecter le cadre juridique l’organisant (Instance nationale de protection des données personnelles «INPDP»), pour ne pas assister à l’installation anarchique de caméras dans les maisons et dans les espaces privés et à un festival local de «surveillance numérique».

Aujourd’hui, avec la recrudescence des scènes de violence, la multiplication de ces caméras devient quasiment une nécessité. Et si le recours à ces moyens de surveillance est de plus en plus tolérable et ne présente plus un problème, comme ce fut le cas des années en arrière, il s’agit, à présent, de savoir les implanter un peu partout, surtout dans les lieux susceptibles de connaître des scènes de violence ou d’autres délits.

Il y a deux jours, le secrétaire général de la municipalité de Sousse a révélé, dans une déclaration médiatique, que depuis 2020, pas moins de 500 caméras ont été installées autour des institutions publiques de la ville, sur les routes et dans les principaux carrefours avec un investissement qui a atteint 1,5 million de dinars. Or, les citoyens de cette grande ville sahélienne constatent que le niveau des actes de violence ne donne pas l’air de baisser.

Des lieux qui doivent être sous haute surveillance

C’est dire que nous avons besoin d’un arsenal plus fourni en caméras de surveillance pour combattre plus efficacement le fléau de la violence et du manque de sécurité que l’on constate quasiment partout et à tout moment. Bien que ne disposant pas de statistiques exactes sur ces appareils de surveillance, on peut les estimer à plusieurs centaines de milliers, entre caméras professionnelles ou domestiques. Selon des professionnels de la vente de ce matériel, près de 50 mille appareils sont annuellement écoulés sur le marché.

Ce qui importe le plus, c’est d’assurer davantage de sécurité dans nos rues et dans les lieux publics. Aujourd’hui, on ne peut plus tolérer l’absence d’une caméra de surveillance, pour ne pas dire plus, devant chaque établissement scolaire dans toutes les régions du pays sans exception. Ce sont des lieux où rodent souvent les dealers à la recherche d’innocentes victimes susceptibles d’être prises dans le piège de la consommation de drogue.

Aujourd’hui, la présence de telles caméras dans nos hôpitaux est plus que souhaitée. Il faut bien qu’il y ait au moins une caméra dans chaque service et encore plus dans les services d’urgence, là où les actes de violence deviennent un pain quasi quotidien. On se souvient de ce qui vient de se passer dans les hôpitaux de Gafsa, de Kasserine et Sfax, là où des agressions contre le corps médical et paramédical ont eu lieu.

D’autres lieux méritent d’être plus surveillés, comme c’est le cas pour le marché de gros, là où les actes de spéculation se produisent chaque jour. Des brigades économiques viennent d’y effectuer des opérations de contrôle qui ont révélé de mystérieuses dérives et il va falloir mettre tout cela sous télésurveillance pour tenter de décourager ces spéculateurs et les interpeller à chaque tentative suspecte de leur part.

Sécurité et prévention

En plus de la lutte contre la violence, c’est au niveau de la sécurité routière que ces caméras peuvent être très utiles et productives. On annonce, déjà, la prochaine mise en place d’un nombre considérable de caméras sur nos routes. Elles seront partout, particulièrement dans des emplacements ciblés pour un maximum d’impact. Les autorités comptent privilégier les zones à risque, telles que l’entrée sud de la capitale, la route rapide ouest ou encore certains grands axes urbains. Des études seront menées pour identifier les lieux exacts où les radars seront les plus efficaces, notamment en analysant les taux de mortalité liés à la vitesse excessive.

C’est dire que cette télésurveillance de plus en plus consolidée va jouer un double rôle : surveiller pour détecter tout acte de violence, de dépassement ou de banditisme, et prévenir en dissuadant les fous du volant, de se comporter correctement et d’éviter les excès de vitesse et les autres mauvais comportements qui sont en train de causer un nombre inquiétant d’accidents et de victimes.

Ce qui est certain, c’est que nous avons dépassé, en Tunisie, la barrière de la crainte de ces caméras et d’un certain voyeurisme qui n’a plus sa raison d’être devant cet inquiétant lot d’actes violents qui ne peut plus continuer et qui doit être traité avec une plus grande fermeté. Et puis, cette nouvelle arme antiviolence qu’est la télésurveillance est en train de se développer partout dans le monde et il n’y a aucune raison pour que notre pays en soit privé.

Kamel ZAIEM

 

caméras de surveillance INPDP - Instance nationale de protection des données personnelles

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