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Accueil » Les marchés publics comme instrument stratégique de souveraineté, d’équité et de refondation fonctionnelle de l’État
NATION mercredi, 26 novembre, 2025,08:329 Mins Read

Les marchés publics comme instrument stratégique de souveraineté, d’équité et de refondation fonctionnelle de l’État

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Par Mondher AFI

La réunion gouvernementale du 22 novembre 2025 au palais de la Kasbah, consacrée à la révision globale du système des marchés publics, s’inscrit dans une séquence politique dont la portée dépasse largement la technicité apparente du dossier. Ce qui pourrait sembler, à première vue, un simple ajustement juridique ou un réaménagement procédural destiné à optimiser les mécanismes de la dépense publique, révèle, à l’analyse, une dynamique bien plus profonde.

Replacée dans le contexte des transformations structurelles engagées ces dernières années, cette révision apparaît comme un acte stratégique visant la refondation intellectuelle, morale et institutionnelle de l’État tunisien. Elle touche au cœur de ses instruments d’action, interroge la manière dont il définit ses priorités et réaffirme la cohérence entre sa mission, ses responsabilités et les attentes sociales.

Il s’agit moins de corriger des procédures que de repenser la logique même de l’intervention publique, en clarifiant les finalités, en renforçant la transparence et en consolidant une légitimité historique mise à l’épreuve par les fragilités accumulées. Ainsi, la réforme des marchés publics devient un moment fondateur où se redessine le rapport entre l’État, l’économie et la société.

La commande publique comme expression de la souveraineté concrète

Dans la conception du Président Kaïs Saïed, la souveraineté ne relève jamais d’un simple registre symbolique, elle constitue une dynamique concrète qui doit s’incarner dans les mécanismes les plus précis de l’action publique. C’est pourquoi la réforme des marchés publics occupe une place paradigmatique dans son projet politique : elle révèle la capacité réelle de l’État à agir, à décider, à orienter le développement national et à protéger l’intérêt général contre toutes les formes d’inertie ou de captation. Pour le Président, un État n’existe pleinement que lorsqu’il sait traduire sa volonté politique dans des dispositifs administratifs cohérents, transparents et efficaces.

Le système ancien, complexe, lent et fragmenté, apparaissait au Président comme l’une des principales causes d’affaiblissement de l’action publique. Les délais administratifs trop longs neutralisaient le rythme du temps politique, et les lourdeurs procédurales finissaient par transformer le droit en instrument de paralysie plutôt qu’en vecteur de capacité. À plusieurs reprises, le Président a insisté sur ce diagnostic : un État entravé devient vulnérable, un État opaque s’affaiblit, un État lent s’éloigne de son peuple. C’est précisément pour inverser cette logique que la réforme engagée est pensée comme un acte de reconquête : reconquête de la capacité d’agir, reconquête d’un cadre institutionnel lisible et reconquête d’un lien organique entre légalité, efficacité et justice sociale.

Dans cette vision, la commande publique devient l’un des leviers les plus déterminants de la souveraineté réelle. Elle irrigue l’économie, structure les territoires, façonne les opportunités et reflète le degré de justice accessible aux citoyens. C’est pourquoi le Président Kaïs Saïed place l’équité au cœur de sa démarche. Pour lui, l’égalité ne peut se limiter à une proclamation constitutionnelle, elle doit devenir un mécanisme institutionnel capable de produire des effets concrets. Un État juste est un État qui distribue équitablement les opportunités économiques, qui garantit l’accès égal aux ressources publiques et qui crée les conditions d’une compétition saine et transparente.

L’ancien système souffrait de deux pathologies structurelles, régulièrement analysées par le Président : la sélectivité déguisée, qui permettait à certains acteurs d’accéder plus aisément aux marchés publics que d’autres, et la fragmentation procédurale, qui ouvrait la voie aux interprétations arbitraires, aux détournements et aux nouvelles formes de rente. En réponse, la réforme vise à unifier et clarifier le dispositif pour ouvrir la commande publique à toutes les forces capables de contribuer au développement : petites et moyennes entreprises, jeunes promoteurs, startups innovantes, acteurs économiques régionaux, entreprises émergentes.

Dans cette approche, l’équité n’est pas seulement un impératif juridique, elle devient une nécessité sociologique destinée à restaurer la confiance collective. Car pour le Président Kaïs Saïed, la confiance du peuple dans ses institutions n’est pas un supplément moral, elle constitue la condition même du développement durable et de la cohésion nationale. En réformant la commande publique, il ne s’agit donc pas seulement de moderniser un mécanisme administratif, mais de reconstruire l’État sur une nouvelle grammaire de justice, de transparence et d’efficacité au service du bien commun. Ainsi se dessine une Tunisie plus souveraine, plus juste et résolument tournée vers l’avenir.

Rompre avec l’héritage bureaucratique : vers un État stratégique

La séance gouvernementale du 22 novembre 2025, consacrée à la révision en profondeur de la commande publique, n’a pas représenté un simple moment administratif, elle a donné forme à une conception renouvelée de l’État telle que défendue par le Président Kaïs Saïed depuis plusieurs années. Dans cette vision, la souveraineté ne relève ni du registre symbolique ni du récit identitaire, elle doit au contraire s’incarner dans les mécanismes les plus concrets de l’action publique. C’est précisément pourquoi la réforme des marchés publics acquiert une valeur paradigmatique : elle devient l’un des espaces où se mesure la capacité réelle de l’État à agir, à protéger l’intérêt général, à orienter les investissements, à garantir l’équité et à construire son autonomie stratégique.

Le Président a souvent souligné que l’ancien système, lourd, fragmenté et traversé par des logiques de rente, avait fini par neutraliser l’efficacité de la décision publique. Le temps administratif, trop long, contredisait le temps politique, ce qui transformait l’État en acteur entravé, parfois même impuissant face aux urgences du développement. Pour le Chef de l’État, un État lent est un État vulnérable, un État opaque est un État affaibli, un État dispersé est un État qui se tient à distance de son peuple. C’est pourquoi la réforme engagée se présente comme un acte de reconquête : reconquête de la capacité d’agir, reconquête de la transparence institutionnelle, reconquête du lien organique entre légalité, efficacité et justice sociale.

Dans cette perspective, les marchés publics ne sont plus une procédure technique, mais un instrument stratégique de construction de l’équité. Le Président considère que l’égalité n’est pas un principe décoratif, elle doit être inscrite dans les textes, traduite dans les procédures et rendue visible dans les décisions. Les anciens dysfonctionnements : la sélectivité déguisée, la fragmentation procédurale, les pressions locales et l’arbitraire administratif, avaient créé des zones d’injustice structurelle. La réforme vise donc à unifier les règles, clarifier les responsabilités, réduire les délais et surtout, ouvrir l’accès aux opportunités publiques à l’ensemble des acteurs capables de contribuer au développement : PME, jeunes promoteurs, entreprises régionales et innovateurs. Ainsi, l’équité cesse d’être un principe abstrait pour devenir un moteur sociologique essentiel permettant de restaurer la confiance collective.

Cette confiance est elle-même au centre d’un autre objectif majeur : transformer l’État bureaucratique en État stratégique. Le Président Kaïs Saïed insiste sur la nécessité de rompre avec une bureaucratie autoréférentielle qui se reproduit, multiplie les filtres, étouffe les initiatives et fragilise l’économie réelle. La réforme impulsée cherche à instaurer un État simple dans ses procédures mais rigoureux dans ses contrôles, rapide dans son action mais ferme dans ses principes, transparent sans être paralysé par la paperasse, responsabilisant plutôt qu’indulgent face à l’impunité. La commande publique devient ainsi un terrain d’expérimentation d’une nouvelle intelligence institutionnelle fondée sur la rationalité, l’éthique et l’efficacité.

Cohésion territoriale, modernisation stratégique et souveraineté économique

Dans une perspective résolument moderne de gouvernance publique, la vision du Président Kaïs Saïed confère à la réforme de la commande publique une portée stratégique qui dépasse largement le cadre technique des procédures. Elle s’inscrit dans une lecture systémique de l’État, où l’efficacité institutionnelle, l’équité territoriale et la souveraineté économique deviennent des leviers indissociables de la refondation nationale. Le Président considère que les instruments juridiques ne doivent plus servir à ralentir l’action publique, mais à la dynamiser, à l’éclairer et à lui offrir les moyens d’une intervention cohérente et performante.

Dans ce cadre, les marchés publics apparaissent comme un espace décisif pour corriger les fractures territoriales héritées de décennies d’asymétries structurelles. Pour le Président, les inégalités régionales constituent l’une des injustices les plus profondément enracinées dans l’histoire politique du pays. Elles ne résultent pas seulement d’un déficit de ressources, mais d’un défaut d’articulation entre l’action publique, la présence de l’État et la dynamique économique locale. La réforme vise donc à reconfigurer les marchés publics en les transformant en instruments de cohésion nationale. Chaque marché devient ainsi un acte territorial destiné à revitaliser les régions marginalisées, un acte social qui stimule l’emploi et consolide le tissu économique local, mais aussi un acte symbolique par lequel l’État reconfirme son rôle protecteur et régulateur. La commande publique cesse alors d’être un simple mécanisme économique pour devenir un outil de réparation historique et de consolidation de l’unité nationale.

Cette transformation est articulée autour de cinq axes structurants qui dessinent un horizon stratégique cohérent. Premièrement, la digitalisation intégrale des processus permet de réduire les zones d’opacité, d’accélérer les délais et d’uniformiser les standards administratifs sur tout le territoire. Deuxièmement, l’orientation des marchés publics vers la transition énergétique traduit une volonté de repositionner la Tunisie dans les chaînes de valeur futures. Troisièmement, l’intégration des PME, des startups et des jeunes promoteurs dans les circuits de commande publique vise à moderniser le tissu productif national et à favoriser l’innovation. Quatrièmement, la rationalisation financière constitue un outil essentiel pour préserver les fonds publics et réorienter les ressources vers les priorités du développement. Enfin, la redéfinition du rôle de l’État, non plus technocratique mais stratégique, permet de réaffirmer sa capacité à anticiper, orienter et protéger.

La dimension éthique occupe une place centrale dans la vision présidentielle. Le Président Kaïs Saïed rappelle régulièrement que la corruption n’est pas un accident du système, mais une menace existentielle qui fragilise la société dans son ensemble. L’exigence de transparence, la responsabilité comme devoir civique et la moralité publique comme condition de souveraineté constituent ainsi les piliers d’une rupture avec les anciens modèles qui toléraient des zones grises, des rentes et des pratiques paralysantes. La réforme vise non pas à contenir la corruption, mais à assécher structurellement les conditions qui permettaient son développement.

En définitive, la réforme engagée le 22 novembre 2025 marque l’une des étapes majeures de la refondation institutionnelle. Elle ouvre la voie à un État plus intelligent, plus juste et plus souverain, capable de restaurer la confiance des citoyens et de maîtriser pleinement ses outils d’action. Le défi est immense, mais il est porté par une vision présidentielle où la rigueur, la justice territoriale et l’intégrité constituent les fondations d’une Tunisie qui avance avec lucidité et détermination vers son avenir.

 

 

conseil ministériel gouvernement Tunisie Kais Saied Présidence de la République

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