Durant la première journée de « l’Assemblée des Femmes de Tunisie » tenue ce mardi 8 mars 2023, les activités étaient réparties comme suit : un débat de 15 minutes dans le cadre d’un axe intitulé « la participation politique des jeunes et des femmes : une loi électorale sans parité », un débat de 15 minutes dans le cadre d’un deuxième axe intitulé « Les droits socioéconomiques : Les femmes face à la vulnérabilité et l’injustice climatique », un débat de 15 minutes dans le cadre d’un axe intitulé « Les violences faites aux femmes face aux réalités de la justice et l’impunité : Contre l’impunité et pour l’accès à la justice ».
Dans le cadre du premier axe abordant la question de l’absence du principe de la parité au sein de la loi électorale, la participation et la représentativité des jeunes et des femmes sur le plan politique, les activistes Nawres Douzi et Asrar Ben Jouira, la représentante du Tunmed Ahlem Nciri, le juriste Sami Ben Ghazi et la représentante de Mourakiboun Raja Jabbari ont présenté leurs témoignages quant à ce sujet.
L’après-midi, trois groupes de travail ont lancé les travaux sur trois thématiques relatifs aux axes abordés durant la session matinale, et ce, dans le but de déterminer les défis et les recommandations déduits.
En ce qui concerne la deuxième journée, programmée demain, il est prévu que les rapports réalisés par les différents groupes de travail au sein des ateliers seront présentés au public. D’autre part, un point de presse aura lieu à 13h. Et finalement, la dernière activité serait la déclaration officielle de « l’Assemblée des Femmes en Tunisie ».
Rym