L’ancien président provisoire Moncef Marzouki a appelé le Parlement, dans un communiqué rendu public le 31 mars 2022, à poursuivre ses activités.
Les unités sécuritaires et militaires doivent choisir « clairement » derrière qui s’aligner, martèle Marzouki dans son communiqué. Ils doivent choisir entre défendre l’intérêt suprême du pays ou suivre un président qui a menti à ses électeurs et trahi Allah, d’après les mots de Marzouki.
Hier et quelques heures après une plénière virtuelle de l’ARP gelée, le Président de la République Kais Saied a décidé de dissoudre le Parlement, conformément à l’article 72 de la Constitution tunisienne.
Ghada