L’ancienne directrice du cabinet présidentiel, Nadia Akacha, a suscité la controverse à travers un statut publié récemment sur sa page Facebook où elle a mentionné que le 25 juillet était un moment déterminant dans l’histoire de la Tunisie et que cette « décision historique était censée être basée sur une méthodologie claire, suivant une démarche démocratique, et sur des bases solides pour construire un État de droit dans lequel les libertés et les institutions sont respectées ».
Mais, selon la même publication, Akacha a considéré que ce moment « a été malheureusement saisi » selon ses dires par « ceux qui n’ont pas d’honneur, pas de religion, pas de patriotisme, et par un groupe de perdants qui ne comprennent rien d’autre que le professionnalisme de la vulgarité et de la distorsion », en se demandant par la même occasion :
« Où en est aujourd’hui la Tunisie d’une crise politique étouffante devenue un danger grave et imminent sans précédent dans son histoire récente ! Où en est la Tunisie aujourd’hui de la crise économique et financière ? Pourquoi la réforme n’a-t-elle pas une méthodologie scientifique et efficace ? »
Entre-temps, beaucoup n’ont pas caché leur indignation en commentaires par rapport au vocabulaire, considéré très agressif, qu’elle a utilisé alors que d’autres l’ont appuyée.
Rym