A l’heure où l’impératif environnemental devient vital, force est de croire que les mécanismes de protection, les logiciels et, surtout, la volonté des édiles municipaux font défaut. Et ça ne rate pas : quartiers huppés, comme quartiers populaires
Font les frais d’un passe-droit absolu que s’arrogent certains individus (ou certains groupes) pour défigurer les cités. Passe encore pour les ordures, mais lorsqu’Al Manar 4 (précisément rue Tahar Sfar en parallèle avec la rue Ali Chamli) , on invente des dépotoirs pour des remblais qui s’amoncellent jusqu’à prendre des formes de voûtes , cela devient difficile à vivre. Et, plus est, lorsque les riverains multiplient les correspondances pour la municipalité, sans réponses bien sûr.