Lors d’un passage sur les ondes de la Radio nationale, Fathi Ben Khlifa, conseiller économique de l’Union tunisienne de l’agriculture et de la pêche (UTAP), a expliqué que l’absence de stocks de régulation et l’inefficacité des mécanismes de régulation ont permis aux spéculateurs de faire grimper le prix des pommes de terre.
Il a dénoncé la non-utilisation des fonds dédiés à la compétitivité et qualifié de « criminel » le prix actuel de trois dinars le kilogramme, tout en assurant que la production était suffisante.