Lancé en 2009 avec un budget de 5 millions de dinars et prévu sur 10 ans, le projet d’immersion des récifs artificiels n’a pas encore achevé sa première phase en raison de difficultés financières.
Ces récifs, destinés à restaurer l’écosystème marin et à préserver les ressources halieutiques, feront l’objet d’une étude pour évaluer leur nombre nécessaire et les zones prioritaires, en collaboration avec le ministère de la Défense.
Le ministre de l’Agriculture a souligné l’importance de ce projet pour la biodiversité marine et la pêche durable, affirmant que « des efforts sont en cours pour mobiliser les financements nécessaires et assurer la réussite de cette initiative essentielle pour la préservation des ressources maritimes. »