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Accueil » Le service des urgences à l’hôpital de Kasserine saccagé : Voilà jusqu’où peuvent aller les hordes sauvages
WGros plan mardi, 1 juillet, 2025,16:305 Mins Read

Le service des urgences à l’hôpital de Kasserine saccagé : Voilà jusqu’où peuvent aller les hordes sauvages

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Cette fois-ci, c’est le service des urgences de l’hôpital régional de Kasserine qui a été victime d’une agression barbare de la part de quelques individus. Il ne s’agit pas d’une première et cela ne peut plus continuer ainsi avec des agresseurs animés d’un sentiment d’impunité qui leur fait penser que tout leur est permis et une législation encore légère face à de tels crimes…

La scène a eu lieu la nuit du dimanche à lundi au service des urgences de l’hôpital régional de Kasserine, où des proches d’un jeune homme décédé des suites d’un accident de la route ont violemment saccagé le service de réanimation.

D’après les témoignages et le communiqué publié par le ministère de la Santé, des équipements médicaux ont été endommagés et le personnel soignant a été agressé, provoquant une intervention sécuritaire d’envergure pour rétablir l’ordre.

Et lorsqu’on parle d’équipements dans un service de réanimation, il s’agit d’appareils très chers et surtout des conséquences qui en découlent puisque des patients, qui auront besoin de tels équipements pour leur réanimation et la surveillance de leur état de santé parfois grave, en seront, très probablement, privés, comme le rappelle le communiqué du ministère de la Santé qui évoque la destruction de la salle de réanimation et les perturbations graves du fonctionnement du service, à un moment qualifié de crucial sur le plan humain.

 Ce nouvel épisode de violences à l’encontre du personnel médical, avec des scènes similaires qui se succèdent un peu partout dans le pays, soulève une fois de plus la question cruciale de la sécurisation des établissements de santé, un sujet sur lequel on revient le lendemain de chaque nouvelle agression sans trouver de solutions efficaces et surtout sans sévir comme il faut pour dissuader ces bandits et criminels habitués à un tel comportement et surtout, à échapper à des poursuites qui pourraient les envoyer derrière les barreaux.

Face à ce grave incident, le ministère de la Santé a fermement condamné cet acte, appelant au respect du cadre hospitalier et à la protection des soignants dans l’exercice de leurs fonctions. Pour sa part, le premier assistant du procureur de la République près le tribunal de première instance de Kasserine et porte-parole officiel des juridictions de Kasserine, a confirmé que le ministère public a ordonné la mise en détention de quatre personnes pour destruction d’équipements du CHU de Kasserine et agression du personnel médical et paramédical, dans la nuit de dimanche à lundi.

Le magistrat a souligné que toute personne ayant participé ou été impliquée dans cet acte de violence à l’encontre d’un établissement de santé public fera l’objet de poursuites.

500 mille dinars de dégâts

De son côté, le directeur régional de la santé à Kasserine a indiqué que les dégâts subis par le service des urgences de l’hôpital universitaire de Kasserine à la suite du saccage de son matériel et de ses équipements s’élèvent à environ 500 mille dinars. Eh oui, il s’agit d’une importante perte qui aurait pu être dépensée pour l’acquisition de nouveaux équipements pour le CHU.

Cette dangereuse agression nous rappelle ce qui s’est passé à l’hôpital régional de Gafsa au mois d’août 2024 qui a suscité de vives réactions de protestation et entraîné quelques arrestations sans suite. Et c’est là que des interrogations s’imposent : comment peut-on permettre à des agresseurs qui saccagent des équipements hospitaliers et qui s’attaquent au personnel médical d’échapper à la justice et de ne pas écoper les sanctions qui s’imposent ?

Pour ceux qui pensent que de telles arrestations ou jugements à la mesure des actes perpétrés pourraient menacer la sécurité et le climat social dans ces régions, il faut rappeler que le respect et l’application de la loi ne dépendent ni des régions ni des catégories sociales et doivent prévaloir pour protéger la population et les biens publics contre le fléau de banditisme et de violence, d’autant plus que de telles agressions, quelle que soit leur nature, impactent négativement la santé physique et mentale des soignants mais aussi la qualité des soins et des services dispensés aux patients et la performance du système de soins en entier.

Doit-on, dès lors, garder le silence face à la clémence offerte à ces agresseurs malgré l’extrême gravité de leurs actes ?

Après tout ce qui s’est passé, qui va soigner le moral du personnel médical agressé verbalement et physiquement et qui va payer les pertes enregistrées ?

Quelles suites aux arrestations ?

Dans de telles situations et face à de telles dérives, ce n’est pas l’installation d’une caméra de surveillance qui va dissuader ces bandits puisqu’ils ont été vite reconnus. C’est la suite à donner à ce grave incident qui aura plus d’importance. Et c’est ce sentiment d’impunité qui les anime qui pose problème car ils pensent pouvoir s’en sortir sans grands dégâts, comme c’était le cas pour ceux qui ont commis les mêmes délits dans d’autres hôpitaux et établissements publics.

L’une des premières mesures à prendre, c’est d’assurer la sécurité totale des CHU et des hôpitaux régionaux car la présence de quelques civils chargés d’intervenir en cas de désordre ne suffit pas pour arrêter cette hémorragie d’agressions.

Concernant les statistiques officielles de ces agressions qui visent les hôpitaux et le personnel médical, il est difficile de fournir des chiffres précis et récents sur les agressions en milieu hospitalier en Tunisie, car les données disponibles sont souvent fragmentaires et ne couvrent pas l’intégralité des cas. Cependant, une étude tunisienne mentionne que plus des trois quarts des victimes (76,9%) ont subi des violences non physiques, la violence verbale étant la catégorie la plus fréquemment signalée, incluant les cris, les jurons, les insultes et les menaces. Toutefois, les agressions physiques sont moins présentes, mais elles sont parfois d’une extrême violence, comme c’était le cas à l’hôpital de Kasserine il y a deux jours.

Kamel ZAIEM

 

hôpital Kasserine urgence

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