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Accueil » Endettement des ménages : les crédits à la consommation comme roue de secours
ECONOMIA vendredi, 14 novembre, 2025,08:345 Mins Read

Endettement des ménages : les crédits à la consommation comme roue de secours

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Depuis des décennies, l’endettement des ménages tunisiens auprès des banques va crescendo ; les études et les statistiques faites dans ce domaine le confirment. En effet, des statistiques toutes récentes montrent que l’endettement des ménages tunisiens auprès des banques a atteint environ 29,4 milliards de dinars en 2024, avec une progression de 2,3% par rapport à l’année précédente.

C’est que presque la moitié des familles tunisiennes ne peuvent se passer de tous types de crédits et ne peuvent pas vivre sans dettes en raison de leur situation difficile. Le taux le plus élevé revient aux crédits de consommation, le mode d’endettement le plus courant chez les Tunisiens, alors que les crédits à l’habitat accordés par les banques ont connu un ralentissement de 0,8% en 2024 selon la Banque centrale de Tunisie.

Les banques tunisiennes proposent des crédits de consommation pour divers besoins (achats, voyages, travaux) avec des montants variables qui vont jusqu’à 30 mille dinars. Il suffirait d’être un salarié ou retraité avec un compte bancaire, de justifier de revenus stables et de fournir un dossier complet (pièce d’identité, bulletins de paie, etc.). Ce genre de crédit est généralement remboursable sur une période pouvant atteindre 36 mois, sous réserve d’une domiciliation de salaire et d’une assurance vie. Le recours à ce genre de crédit est fréquent chez les Tunisiens quand ils se sentent en situation de crise financière, faute de mieux.

D’après ces chiffres, on peut dire que 90% des ménages tunisiens sont endettés auprès des banques et consacrent une bonne partie de leurs budgets au paiement des prêts divers qu’ils ont contractés. D’ailleurs, selon une enquête très sérieuse menée il y a quelques années par l’Organisation de Défense du Consommateur, le taux de ceux qui se sont endettés au moins une fois dans leur vie dépasse les 85%.

Faut-il s’endetter pour vivre heureux ?

Il arrive qu’un citoyen s’endette deux ou trois fois, sinon maintes fois de suite, qui pour acquérir un logement ou un lot de terrain, qui pour construire une maison, qui pour acheter une voiture ; mais aussi, pour s’acquitter de certaines dépenses familiales de plus en plus lourdes ou bien de s’acheter des articles ménagers ou du nouveau mobilier. Ajoutons à cela, ceux qui décident de se marier n’hésitent pas à s’endetter auprès des banques pour satisfaire les besoins du mariage. Une fois marié, on pense déjà à la grossesse et à l’accouchement de sa femme, un peu plus tard à l’achat d’une chambre pour le bébé qui doit jouir d’un minimum de confort et d’une bonne hygiène. De même, la rentrée scolaire oblige certains Tunisiens à recourir à la banque pour obtenir un crédit afin de fournir les fournitures nécessaires aux enfants scolarisés. Le besoin d’endettement s’impose également lors des fêtes (notamment l’Aïd el kébir) pour obtenir un prêt servant à l’achat du mouton et tout le nécessaire de cette fête religieuse. Les raisons pour lesquelles le Tunisien s’endette sont si nombreuses que certains ne peuvent s’en passer.

Un cercle vicieux

Ainsi, on remarque que depuis des décennies, le Tunisien est engagé dans un engrenage infernal ; c’est à peine si le premier crédit est remboursé qu’il en demande un deuxième. Et ainsi de suite. En fait, c’est un cercle vicieux qui ne laisse pas beaucoup de choix à ceux qui n’ont que la formule du prêt pour s’en sortir, à tel point que certains deviennent excessivement endettés et vivent constamment dans une situation stressante sous la menace de la saisie et des poursuites judiciaires. Et dire que la banque est toujours disposée à accorder des crédits de consommation ou des prêts à moyen ou à long terme, surtout à ses clients fidèles. D’ailleurs, elle n’a jamais été perdante dans l’affaire, puisqu’elle fait signer à son client un contrat où les clauses sont rigoureuses et avec de grands avantages au profit de la banque créancière. De tels contrats ont l’air d’être unilatéraux plutôt que bilatéraux, signés entre deux parties. Les clients se trouvent souvent obligés de signer des contrats dont aucune des clauses ne leur est favorable. Tout y est à l’avantage de la banque qui s’attribue toutes les garanties d’intérêts et de remboursement à une date fixe.

Dans un contrat de prêt bancaire, par exemple, vous avez beau chercher dans ses nombreux articles un seul qui profite à l’emprunteur, vos efforts resteront vains. Souvent, le client emprunteur, pressé d’avoir son prêt, signe le contrat sans le lire. D’abord parce qu’il contient une terminologie juridique peu accessible par le client, ensuite parce qu’il comprend cinq ou six feuilles qu’il est difficile de lire à la lettre. Voici ce qu’on peut trouver dans ce genre de contrat signé par le client et avec la fameuse mention «lu et approuvé» : «La société X consent à l’emprunteur»), le reste du texte, c’est-à-dire presque 95% de la page, est formulé dans un lexique très avantageux pour la société prêteuse. Qu’on en juge d’après ces extraits : «L’emprunteur qui accepte en s’obligeant à en exécuter les clauses et conditions…», «L’emprunteur autorise X à le débiter…», «X percevra notamment une commission…», «L’emprunteur s’oblige irrévocablement à…», «L’emprunteur autorise expressément X à virer le montant…», «Il dégage X de toute responsabilité suite à ce virement», «L’emprunteur doit…», «L’emprunteur s’interdit de demander…», «X aura en toutes circonstances et à tous les moments, la faculté d’exiger, si bon lui semble»… C’est dire qu’il s’agirait de l’une de ces épées de Damoclès en papier que nos banques placent au-dessus des têtes déjà branlantes de leurs clients.

Bref, ce genre de contrat englobe des prescriptions que le client doit exécuter à la lettre, car il n’a pas d’autre choix. La crise économique, la cherté de la vie, l’inflation sans cesse galopante et la dégradation du pouvoir d’achat poussent le citoyen à recourir aux banques pour résoudre ses problèmes financiers et améliorer une situation difficile.

Hechmi KHALLADI 

consommation Crédits bancaires ENDETTEMENT

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