Alors que le cadre médical à l’hôpital régional de Tataouine a été renforcé par deux médecins ophtalmologues, leur rôle se limitait uniquement à effectuer des consultations sans pouvoir mener des opérations chirurgicales, telles que l’intervention de cataracte, et ce en raison du manque d’équipements nécessaires.
La situation n’est pas meilleure dans le secteur privé puisque la région compte d’un seul ophtalmologue qui ne peut tout seul répondre au nombre croissant de demandeurs de soins.
L’un des deux spécialistes a affirmé à l’Agence TAP que la région a besoin d’un service d’ophtalmologie au sein de l’hôpital, à l’instar des autres spécialités, en vue de fournir les meilleures prestations aux patients.