L’Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT), et le gouvernement ont repris vendredi les négociations axées sur des questions à caractère social, sans parvenir à un accord en raison de la divergence des points de vue entre les deux parties, a indiqué le secrétaire général adjoint de l’UGTT, Slaheddine Selmi. Dans une déclaration à la TAP Selmi a souligné qu’aucun accord n’a été conclu lors de la séance de négociations tenue ce vendredi dont la question d’augmentation de salaire. Le gouvernement a présenté deux propositions concernant l’augmentation des salaires mais qui ne répondaient pas aux attentes de la centrale syndicale, a précisé la même source. L’UGTT demande une augmentation des salaires des agents du secteur public et de la fonction publique pour les années 2021/2022/2023. Le but est de consolider le pouvoir d’achat des employés, mais le gouvernement avait proposé lors des précédentes négociations une augmentation aux titres des années 2023/2024/2025. Les négociations ont porté également sur la demande d’annulation de la contribution solidaire de 1pc, mais le gouvernement a refusé cette demande justifiant ce refus par les difficultés économiques du pays, a ajouté Selmi.L’Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT), et le gouvernement ont repris vendredi les négociations axées sur des questions à caractère social, sans parvenir à un accord en raison de la divergence des points de vue entre les deux parties, a indiqué le secrétaire général adjoint de l’UGTT, Slaheddine Selmi. Dans une déclaration à la TAP Selmi a souligné qu’aucun accord n’a été conclu lors de la séance de négociations tenue ce vendredi dont la question d’augmentation de salaire. Le gouvernement a présenté deux propositions concernant l’augmentation des salaires mais qui ne répondaient pas aux attentes de la centrale syndicale, a précisé la même source. L’UGTT demande une augmentation des salaires des agents du secteur public et de la fonction publique pour les années 2021/2022/2023. Le but est de consolider le pouvoir d’achat des employés, mais le gouvernement avait proposé lors des précédentes négociations une augmentation aux titres des années 2023/2024/2025. Les négociations ont porté également sur la demande d’annulation de la contribution solidaire de 1pc, mais le gouvernement a refusé cette demande justifiant ce refus par les difficultés économiques du pays, a ajouté Selmi.
Rappelons que Tabboubi, avait appelé la cheffe du gouvernement, le 3 septembre 2022, à déployer des efforts de par la position qu’elle occupe pour parvenir à un accord qui tienne compte de l’intérêt du pays et des conditions sociales.