EST-CSS (1-1) Le ras le bol de Nabil Maaloul

Reprise de la compétition après la parenthèse coupe du monde au Qatar avec mise à niveau du calendrier autorisant le début de la phase retour le 8 Janvier avec tous les clubs ayant épongé totalement leurs matches en retard. L’opération liquidation des rencontres en souffrance débuta par le choc EST-CSS (1ère journée). Le stade de Radès n’étant pas opérationnel, les Tunisois durent se rabattre sur le municipal d’Hammam-Lif pour offrir l’hospitalité aux sudistes. Une parité de (1-1) sanctionna les débats avec comme principale caractéristique, un arbitrage ratant complètement sa sortie : Yosri Bou Ali et son premier assistant passant à côté de l’évènement avec des décisions anachroniques, incompréhensibles ayant failli mettre le feu aux poudres. Tollé général dans le camp des  » sang et or » estimant que  » sciemment » on tente de mettre le bâton dans les roues du club et de nuire à ses intérêts.

 » Tous d’abord je me dois de rendre un vibrant hommage à toutes les composantes de la ville d’Hammam-Lif qui accepta de nous offrir le gîte contrairement à d’autres municipalités qui refusèrent de nous recevoir. J’ai sillonné tous les stades possibles pour finalement avoir l’aval des Banlieusards qui mirent toutes leurs dispositions logistiques à notre disposition, merci et bravo pour eux.

Curieusement, tous les stades ont entamé leurs rénovations en même temps et leurs responsables se sont passés le mot pour nous fermer leurs portes au nez. Du coup, nous sommes handicapés par l’absence du soutien de notre public, contraints à évoluer sur une pelouse que nous ne connaissons pas, avec un manque à gagner sur le plan financier monstre. Sachant que lors de ces travaux, nous devons recevoir nos principaux adversaires, le CSS et l’ESS devant attirer la grande foule à Radès en plus des ST, CAB et ESHS. Les responsables sudistes ont tenu à faire évacuer la cinquantaine de personnes présentes pour nous soutenir, c’est vous dire l’impact et l’influence des 30 mille supporters à Radès si d’aventure  » on » n’avait pas décidé quelques parts de nous priver de l’apport de notre cher public!

Je n’ai pas l’habitude de critiquer l’évolution des arbitres estimant qu’ils sont des humains et en tant que tels, leurs erreurs entrent dans la règle du jeu. Mais quand la mauvaise foi y est, cela me fait sortir de mes gongs. L’Espérance dérange c’est un fait irréfutable. Donc user de tous les moyens pour la neutraliser en utilisant tous les subterfuges sournois mais qui ne trompent personne tellement ils sont cousus de fil blanc. Ce même arbitre à Bizerte une fois notre but inscrit a fait tout son possible pour permettre aux Nordistes de refaire leur retard. Aujourd’hui, toujours ce même arbitre a omis de nous siffler deux penalties flagrants, a délibérément  » oublié » de brandir deux cartons rouges indiscutables aux joueurs adverses. Pis encore, avant de d’avertir un fautif sudiste, il prend tout d’abord le soin de vérifier son numéro histoire de ne pas être contraint de l’exclure pour somme d’avertissements. Quatre minutes de temps additionnel alors qu’en réalité même 10′ n’auraient pas compensé le temps intentionnellement perdu par nos vis-à-vis

Sur l’action du penalty relative à une remise latérale en notre faveur (touche), le premier (?) arbitre assistant leva son drapeau signalant un …hors-jeu devant l’ébahissement général de toute l’assistance, le commissaire si Farid Sahli en premier lieu n’en croyant pas ses yeux. Si quelque part on tient à ce que l’on leur laisse le champ libre du moment que notre hégémonie, notre main mise entravent leurs plans, qu’on nous le dise ouvertement et on se retire sans créer de vagues. L’Espérance Sportive de Tunis n’est pas à un titre près toutes catégories et toutes disciplines confondues. Ourdir des manigances louches avec usage de vils et non machiavéliques procédés fait désordre et n’honore nullement leurs manipulateurs tapis dans l’ombre mais dont les visées sont clairement connues par tout un chacun ».

 » Oui l’entraineur Italo-Suisse Maorizio Jacobetchi présent sur les travées sera très certainement le premier responsable technique du groupe et je demeure au poste comme premier assistant. Le temps d’acquérir davantage de métier et de maturité pour postuler à passer premier entraineur de mes couleurs. Pour revenir au match, un point est bon à prendre en déplacement et devant un gros client. Nous n’avons qu’un seul point pour deux rencontres disputées et il est temps que notre capital points soit revu à la hausse. Nous avons su comment enrailler la redoutable machine Espérantiste et l’empêcher de nous inquiéter sérieusement. Notre adversaire est plus en jambes contrairement à nous, voués à au manque de compétition. Le meilleur est à venir, patience ».