Le président du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Mohamed Yassine Jelassi, a affirmé qu’il est visé par une plainte dont les motifs sont l’outrage à un fonctionnaire public lors de l’exercice de son métier. Jelassi a, toutefois, précisé qu’il n’a pas reçu une convocation pour comparaître devant la brigade sécuritaire concernée. « L’avocat m’a informé de cette plainte portée à mon encontre suite au rassemblement de protestation observé le 18 juillet 2022, devant le théâtre municipal à Tunis », a-t-il notamment précisé. Le président du SNJT a tenu à rappeler que les participants au mouvement de protestation précité, n’ont pas entravé…
Auteur/autrice : S.B.
Déclaration d’après-match de Naoufel Chebil, entraineur de l’ES Hammam Sousse, après la défaite de son équipe face à l’Espérance (2-0). « Je dois féliciter l’Espérance pour avoir administré un cinglant démenti aux rumeurs colportées çà et là arguant qu’elle lèverait le pied et alignerait ses doublures pour préparer son match du Samedi contre les Soudanais. Une marque de respect à notre endroit de sa part et qui n’étonne nullement émanant d’une aussi grande équipe ne jouant que pour la gagne et le respect de l’éthique sportive. Nous avons tenté d’annihiler ses points forts en fermant toutes les issues et autres intervalles…
Recevant Najla Bouden au Palais de Carthage ce vendredi 6 janvier, le président de la République Kaïs Saïed a annoncé le limogeage de la ministre du Commerce Fadhila Rebhi.
Recevant Najla Bouden à Carthage, le Président de la République Kaïs Saïed a annoncé, ce vendredi 6 janvier, avoir démis Fakher Fakhfekh de ses fonctions de gouverneur de Sfax.
Par Slim BEN YOUSSEF A l’échelle d’un pays, la quête du bonheur (« brut » comme plairait à Saïed) peut se résumer parfois dans l’espoir d’un lendemain meilleur, faute d’avoir un aujourd’hui décent. Sur fond de crise socio-économique, aigue et décidément chronique, les Législatives du 17 décembre (demain dès l’aube, dira le poète) ont été présentées par le saïedisme naissant comme le couronnement d’un processus transitoire « exceptionnel » qui s’est donné pour mission depuis le 25 juillet 2021 de faire sortir définitivement la Tunisie d’une décennie, qualifiée de « noire » et qui, en dehors des incommensurables acquis en matière de droits et de libertés,…
Les membres du comité directeur du Club Africain ont annoncé ce jeudi 10 novembre 2022 leur démission collective, sur fond de l’élimination précoce du club en coupe de la CAF, face à Young Africains mercredi à Radès. Une décision expliquée dans un communiqué par les mauvais résultats sportifs enregistrés récemment. Le comité directeur annonce qu’il poursuivra la gestion des affaires du club jusqu’à élection d’un nouveau comité.
Attaquons le problème sans ambages : un « éventuel » retour à la tenue biennale des prochaines éditions des JCC, annoncé à brûle-pourpoint sur le direct d’un plateau télévisé par la ministre des Affaires culturelles, (sermonnée vraisemblablement au Palais quelques instants plus tôt) est une décision –l’on pèsera ici les mots : impulsive, réactionnaire et tout au moins irréfléchie. Pour ne pas dire irresponsable. Impulsive, parce que, au pire des « bad buzz », une bourde au palmarès (aussi grave soit-elle) ou un extraterrestre qui atterrit impertinemment sur un tapis rouge, offusquant dans la foulée le « goût commun », l’opinion publique et le président de la République…
Le film tanzanien « Les révoltés » de Amil Shivji a remporté le Tanit d’or des JCC 2022 ; le tunisien « Sous les figues », de Erij Sehiri, a reçu le tanit d’argent ; le tanit de bronze a été attribué au film égyptien « Sharaf » de Samir Nasr. Le Prix Tahar Cheriaa de la première œuvre a été décerné au film algérien « La Vie d’après » de Anis Djaad. « Les révoltés » est également lauréat du prix de la meilleure photographie et du prix FIPRESCI (Fédération Internationale de la Presse Cinématographique). Le Palmarès de la…
Par Slim BEN YOUSSEF Le présent ne thésaurise pas le passé. C’est le passé qui ne cesse d’affermir son jaillissement en toute « présence ». Après 56 ans d’existence, les Journées cinématographiques de Carthage n’ont plus droit au ballottement. Une identité panafricaine-panarabe à bétonner ; une tradition cinéphilique à cimenter ; une culture de débat et d’ouverture à « l’autre » à étançonner ; des idéaux de cinéma, de forme et de fond, à cultiver, à enraciner, à mettre en avant, – à assumer– loin des schémas conventionnels de consommation. Et la magie ineffable d’une kermesse de cinéma, doublée d’une joie de vivre caractéristique de l’événement,…
Certaines informations ont circulé ces dernières heures, faisant état de possibles contacts entre l’Etoile et le désormais ancien portier de l’Espérance de Tunis Farouk Ben Mustapha ( son bail avec l’EST a expiré en juin dernier). Sauf que, il ne s’agit de pures allégations dénuées de tout fondement, surtout que l’Etoile du sahel dispose d’une pléiade de gardiens talentueux composée de l’inamovible Aymen Balbouli, Ali Jemal,Ramy Gabsi, Ahmed Slimène et le portier de l’équipe nationale junior Raed Gazzeh, qui est se positionne comme le futur gardien de but numéro en Tunisie d’après de nombreux observateurs. Hatem REGAIEG